Ce jardin des temps passés s'accorde mal à la vitesse de notre monde présent, je ne vous montrerais pas d'images de cette confrontation, du moins pour le moment, elles sont pénibles et peu respectueuses.
Place aux murets, capitelles, traces et chemins parmi les chênes, les buis et la salsepareille.
Murs et murets.
Une "signature" d'un bâtisseur de murs.
Partout des murets séparant d'anciennes parcelles et bordant les chemins.
Reste de muret bordant une truffière.
Un escalier.
Garrigue acide, un chemin desservant un ancien bois de châtaigniers, maintenant recouvert par des chênes.
Abris divers.
Dans une carrière de meules, probablement un abri pour les ouvriers.
Capitelle
Souvent à peine visibles dans la végétation. Celle-ci, j'y suis passé pas mal de fois à deux ou tros mètres sans la voir...
Et puis il y a les chemins...
...Où les roues des charrettes ont écrit leur histoire. Pour moi parmi les endroits les plus émouvants. A chaque fois il me semble entendre encore la voix des charretiers, le grincement des roues dans les ornières de calcaire, sentir l'odeur des bêtes.
Un jardin sous les buissons.
A cet endroit, à peine visibles, les traces d'anciennes cultures sur une terre ingrate mais soigneusement épierrée.
A bientôt, Jacques.
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