mardi 4 décembre 2012

Bientôt l'hiver


La pâte :

200 g. de farine.
100 g. de beurre salé.
Faire une pâte bien homogène et réserver au frigo quelques heures à l'avance.

La tarte :

Choisir 4 pommes bien goûteuses, les peler et les partager en 8 quartiers chacune.
Mélanger une bonne poignée de farine plus la même quantité de sucre et faites-en un moelleux tapis sur lequel vous disposerez les quartiers de pommes.
Saupoudrer de sucre et d'un soupçon de canelle.
Pour la cuisson, ça dépend du moule, dans les moules en terre qui ont ma préférence, compter 40 à 45 minutes.

Je vous avait déjà parlé de mon goût prononcé pour les Lycènes et plus particulièrement pour les Azurés de tous bords. Cette année, l'arrière saison s'est prolongée jusqu'à fin-novembre pour ces espèces, un bon mois de plus que ce qui est "officiellement" prévu, comme quoi...

Donc, une tarte aux pommes pour me faire pardonner cette surabondance d'images d'Azurés communs. Je ne sais pas pourquoi, mais chaque fois que j'en vois un, j'ai l'impression que c'est le premier.

Pour commencer, trois images d'une parade.




Ici, il ne s'agit pas d'un couple, mais de deux mâles posés pour la nuit.


Une petite femelle qui a connu les outrages du temps.


Une des particularité de l'Azuré commun est la multiplicités de tailles et de couleurs qu'ils peuvent prendre, au point qu'il faut parfois pas mal de pratique pour reconnaître à coup sûr le plus commun de nos azurés.
Ici, malgré la teinte bleutée, je pense qu'il s'agit d'une femelle, mais de là à en être certain...


Encore une femelle.


Toujours une femelle aux reflets cuivrés dans la lumière du matin.


A contre-jour, toujours dans une lumière matinale.


Un mâle tout frais sur un Calament népéta, une des plantes qu'ils aiment butiner.


Et pour terminer cette série, les derniers de la saison, mi-novembre pour le premier et fin novembre pour le second. Sur la seconde image, on peut remarquer l'étonnant état de fraîcheur de ce petit mâle, ce qui montre que les générations se succèdent jusque tard en automne, peut-être une année particulièrement favorable.
Pour juger de l'état de fraîcheur, il faut regarder les franges blanches du papillon : effilochées sur le premier et encore bien nettes sur le second malgré l'accroc.



A bientôt, Jacques.




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